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Présentation

  • : Ecritures à la loupe
  • : Présenter des écritures manuscrites d'écrivains célèbres avec une étude graphologique, des comptines pour enfants, l'un de mes romans et beaucoup de mes coups de coeur, voilà l'objectif de ce blog. J'espère que vous vous y sentirez également chez vous...
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Mes romans

histoire

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25 avril 2007 3 25 /04 /avril /2007 08:24

 

 

J'avais oublié ces quelques flocons....

 

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Bonne Journée! 

 

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24 avril 2007 2 24 /04 /avril /2007 09:14

 

Un jardin en avalanche de blanc

 

 

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 Bonne Journée!

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23 avril 2007 1 23 /04 /avril /2007 09:19

 

 

Blog-notes*

 

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Crédit photo Bettina

 PS: Il suffit de cliquer en tête de la page d'accueil sur "Romans" pour accéder aux précédents chapitres

 

 

XIV


 - Pardon ? C'est une question que tu me poses ou bien le sujet de Philo ?


- Tu sais man que tu es lourde parfois. Le sujet évidemment, ajouta-t-elle en soupirant.


- Génial ! Pile poil dans tes cordes si je ne me trompe ! Tu as dû noircir des pages...


- Ouais, mais tu sais ce n'est pas le nombre de lignes qui compte. J'ai cité Pascal, Descartes, Kant Liebniz, fait référence à Galilée, normalement je ne suis pas hors sujet.


- Hou là! Effectivement tu as fais très fort. Je suis très heureuse pour toi  ma chérie. Tu es où en ce moment ? A la maison ?


- Oui, je viens de rentrer. Le père d'un copain m'a raccompagnée en voiture. Le père d'Alex, si tu veux savoir.


- Le père d'Alex ? Il ne travaillait pas aujourd'hui ?


- Si ! Il a fini plus tôt pour passer me prendre, lui !


- Ecoute Clarisse, je t'avais prévenue que j'étais en rendez-vous cet après-midi, un rendez-vous important. Ton père est en déplacement, ton frère en stage à l'étranger et moi j'étais occupée. Tu as de plus un bus direct pour entrer à la maison. Je n'allais pas annuler ce rendez-vous. Alex était là, lui aussi je suppose ?


- Oui...


- Et il est avec toi à la maison ?


- Ben oui!


- Vous faites quoi, si ce n'est pas indiscret ?


- On est sur le net, il me montre quelque chose...


Je faillis lui demander pour la taquiner s'il s'agissait de sites pornographiques, mais à l'évidence j'avais déjà dépassé les mesures et l'heure n'était pas à m'en faire une ennemie.

 

 

                                                                                            à suivre......

 

 

*BLOG-NOTES est un manuscrit déposé, ayant reçu un numéro d'ISBN mais non encore corrigé et édité. Les amis blogeurs qui auront le courage et la ténacité de lire ce petit suspense jusqu'au bout seront nommément cités sur le livre en dédicace.

  

 

 

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22 avril 2007 7 22 /04 /avril /2007 10:14

Il s'agissait de l'Hôtel de Sens...

L'hôtel de Sens est, avec l'hôtel de Cluny et la maison Coeur, l'un des seuls vestiges de l'architecture civile du Moyen-Age parisien.

 Véritable forteresse, il a été construit

 entre 1474 et 1519 pour l'évêque de Sens.

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Bonne journée!

 

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21 avril 2007 6 21 /04 /avril /2007 08:31

Jean, un de mes amis peintre m'a envoyé hier

 une photo retouchée par ses soins .

Il s'agit d'une demeure parisisenne qu'il voit de sa fenêtre.

Pouvez-vous deviner laquelle?

 

 

 

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Bonne journée!

 

 

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20 avril 2007 5 20 /04 /avril /2007 09:03

 

 

 

Nouvelle découverte dans la communauté  "L'écriture dans tous ses états".

Adonis, est venu nous rejoindre et

j'ai eu un grand coup de coeur pour ce texte

au style très personnel.

Adonis se définit ainsi sur son blog:

Je m'appelle Adonis.
J'ai 16 ans, 3 mois, 2 jours.
Je déteste mon corps.

Avec son autorisation, je publie sur mon blog

ce petit texte qu'il a écrit récemment.

N'hésitez pas à vous rendre sur son blog et lui laisser des commentaires...

 

 

 

 

Sexe Machine

 

 

 

 
     -Ohlalal! maiiiiis tu es musclé!
    C'était une voix féminine. A ma gauche. J'ai eu du mal à la repérer. On était la nuit. Mais l'endroit était richement éclairé. Pour taper à l'oeil. C'est une débauche de mauvais goût, de néons roses. Chacun dans son coin vantait des sensations inédites. On promettait de vous envoyer en l'air à peu de frais, pas cher la partie de jambe en l'air. Mais pas de risque, on sait se protéger. Chacun exposait ces instruments, de travail pour eux, de plaisir pour nous. Et puis, y avait cette épaisse fumée, ces odeurs, ces flashes, ces cris de plaisirs. Se faire plaisir. Un soir.
    Nous ça faisait une semaine qu'on était en vacances, on se faisait chier. Alors vendredi, on a décidé que ce soir là on s'emmerderait plus. Tant pis le prix que ça coûtera. On est jeune qu'une fois. La télé, c'est pour les vieux. Parfois, quand on est jeune, on a qu'un corps, parfois, on veut absolument s'en servir. Alors, on a décidé qu'on s'éclaterait, qu'on ferait ce qui nous exciterait le plus.
    Et puis, cette voie féminine à ma gauche. A l'accent russe.
    -Montrrrrre moi ce donccc tu est cccapable!
  Je n'étais certainement pas le premier de la soirée à avoir entendu ça.  J'ai donné un coup de coude à Nathael. Je lui ai montré. Il a regardé. Il a ausculté, froidement. Il m'a regardé, il m'a dit:
    -Tu te sens capable?
    -Je... je crois
    Un client venait de tirer son coup. Il était allé fort, ça se voyait.  Il affichait une gueule agressive. Il était fier de sa virilité. J'attendais qu'il remette son blouson.
    -T'auras la force?
    -Putain, oué ça va! Tu vas pas me prendre la tête toute la nuit! Bon, tu peux pas m'avancer? chuis complètement à sec sur ce coup là!   
    -Attends, je regarde.
    Il a ouvert son porte-monnaie. Il m'a filé ce qui restait de la monnaie. De toute façon, il voulait voir comment je me débrouillais.
    -Merci.
    -Fais gaffe à pas te faire mal quand même.
    -Chuis pas un gamin !
    Je compte. Mon corps était en ébullition. Je fais tomber de l'argent, je ramasse. Je paies.
    -Rhouou, tu te sens chaud?
    Ouais. J'ai enlevé mon blouson. Je me suis chauffé les mains. J'ai regardé. Nathael m'encourageait.
    J'ai frappé le plus fort que j'ai pu.
    -Ouééé, vas-y Don', encore, encore plus fort !!
    Autour de moi, on a commencé à se demander ce qui se passait. Quelques personnes se sont approchées.
    J'ai cogné. J'ai heurté. J'ai frappé encore plus fort.
     -Vas-y Don, tu peux le faire!
    Un vigile de la sécurité a commencé à s'intriguer de cet attroupement. Il s'est approché craignant une bagarre. Il s'est arrêté, il a regardé.
    J'ai foutu dans mon poing tout ce que j'ai pu.
    -Tou est mon champiiiiiiion
    L'aiguille a fait le tour du cadran. La sonnerie s'est activée.   
    -Ouais, bravo Adonis, t'as fait 3 000 points !!
    Le groupe qui attendait son tour a mis les pièces dans la machine.

     Ath a dit:
    -Bon, tu viens, il me reste des tickets, on va faire un tour d'auto-tampon.

 

 

 

 

ADONIS

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19 avril 2007 4 19 /04 /avril /2007 09:12

 

Ohayoo*!

 

 

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Itte rasshai** ...

* Bonjour

** Bonne journée

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18 avril 2007 3 18 /04 /avril /2007 08:46




Paul FORT (1872-1960)



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Qui ne connaît aujourd'hui "Le petit cheval blanc" ou "Le bonheur est dans le pré" mis en musique et chanté par Georges Brassens?

En chantant les vers de Paul Fort, Georges Brassens a rendu un bel hommage et un fier service à celui qui fut élu Prince des Poètes en 1912.




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  Georges Brassens et Paul Fort









Paul Fort  est né le 1er février 1872 à Reims.

A dix-sept ans, il fonde le Théâtre d'Art à Paris qui deviendra plus tard le célèbre Théâtre de l'Oeuvre. On y joua  les oeuvres de Marlowe, Maeterlinck, Mallarmé, Verlaine.

Grand ami de ce dernier, il fréquenta les plus grands écrivains et poètes de son temps comme Stéphane Mallarmé, Pierre Louÿs ou André Gide.

En 1897,  le premier volume de ses "Ballades françaises" est publié au Mercure de France. Le style de Paul Fort est un subtil mélange de prose et de vers mêlés. Le poète s'adresse à ses lecteurs dans une langue simple, voire limpide, sans effets inutiles.

En 1905, il crée la revue Vers et Prose qu'il dirige avec Paul Valéry et édite les oeuvres de Laforgue, Jarry, Apollinaire, Carco, Gide, Claudel, etc.

Il contribue également à "lancer" Montparnasse et rassemble autour de lui la fine fleur de la littérature française de cette époque. L'écriture pour le théâtre le tente et son goût prononcé pour l' Histoire le guidera dans le choix de ses sujets. Ses pièces regroupées sous le titre de Chroniques de France seront écrites dans les années 20: (Louis Xl, curieux homme, 1922; Ysabeau, 1924).

Maintes fois comparé à Villon et à Charles d'Orléans, il a su pourtant donner un "son" très personnel et unique à ses poèmes et à ses ballades.

Balladin donc et poète à l'exquise sensibilité, il savait également s'entousiasmer, rire et plaisanter en inventant d'innombrables calembours.

"P. Béarn dans son livre: "Paul Fort" (édité chez Seghers en 1963) a dit de lui: "Paul Fort est notre dernier trouvère"...

Attachons-nous maintenant à découvrir son écriture...













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Il s'agit ici d'une dédicace de 1948 du tome XI

des Ballades françaises et Chroniques de France:

Contes de ma soeur l'oie et de mon frère le Jars

Pour compléter cette dédicace,

 voici  un bristol de 1947 adressé au même destinataire







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Tout est dit ou presque dans ses quelques lignes:

"Rêve... féerie... clarté spirituelle... gaulois et vigoureux bon sens....Tout recommencer comme si on avait 18 ans...


Le "poémier" de 76 ans n'a guère besoin d'un graphologue pour se connaître...


L'écriture au trait large, pâteux,  moiré dans sa texture, passant du gris pâle au noir renforcé, aux lettres juxtaposées avec rythme et vivacité sur le papier montre à la perfection que la nature de Paul Fort est une manière incroyablement exarcerbée  de sentir autant qu'une manière de dire.


L'hypersensibilité, l'émotion qui transparaît  à l'instant précis où la plume va laisser sa trace est vigoureusement dominée par une mise en tension sur une ligne bien tenue, des jambages particulièrement "encrés" dans le sol. Les "t" de la signature en forme de croix, les amorces stylisées et raides sur l'horizontale du "P" de Paul et du "F" de "Fort", les jambages parfois lourds et massués, illustrent l'enracinement du poète dans une culture du "terroir", une culture chrétienne sans aucun doute,  une volonté de rester concret et proche de ses origines.


La superbe jeunesse d'une écriture qui à l'âge de 76 ans ne laisse apparaître ni déformation, ni altération dans le cursus de son déroulement accrédite l'idée d'une vision toujours neuve et juvénile d'un monde qu'il perçoit sans idée préconçue, mais avec bonne humeur et ouverture d'esprit.


Paul Fort repose à Montlhéry dans sa propriété d'Argenlieu.







Pour terminer, voici un petit extrait (le début) de la "Chanson du poète immolé"

écrit en 1945, juste au sortir de la guerre:




Je n'étais qu'un petit poète - (si petit coeur chantant de si petit oiseau) - ils ont dit: Frappons à la tête, comme un boeuf ce poétereau

Je n'étais qu'un petit poète - (si petit coeur chantant de si petit oiseau) - ils m'ont nommé, dans leur défaite, bouc émissaire du troupeau.

Je n'étais qu'un petit poète - (si petit coeur chantant de si petit oiseau) - chantant la France en dueil, en fête, si bien, que pour eux c'était trop!

Je fus donc ce petit poète? - (si petit coeur chantant de si petit oiseau?) - comme un cerf mort, je suis la bête aux yeux plaintifs changés en eau.




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17 avril 2007 2 17 /04 /avril /2007 11:34

 

 

 

 

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Un fil à la patte

Silencieuse et discrète

Tu as tissé ma vie au point de chaînette.

Insensible aux grandes effusions

Tu m'as aimée au point de chausson.

Avec tes mots apaisants

Tu m'as consolée au point de devant.

Issue d'un modeste milieu

Tu m'as élevée au point de noeud.

Droite et fidèle à la parole donnée

Tu m'as fais confiance au point lancé.

Sur la toile tire-fil de ma vie

Tu as brodé un zest de friponnerie.

Pour te dire que je ne suis pas une ingrate:

Je t'aime, en dépit de ton fil à la patte.

 

Alaligne

Pour accéder aux autres comptines, il suffit de cliquer dans la colonne de droite, Catégories: comptines

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16 avril 2007 1 16 /04 /avril /2007 10:12

Tu ne m'impressionnes pas!

 

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Bonne journée!

 

 

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